Photo de Monsieur Jean-Pierre MASSALOUX

Jean-Pierre MASSALOUX

décédé le 13 juin 2025 à l'âge de 81 ans
Partager
Photo de Monsieur Jean-Pierre MASSALOUX
Jean-Pierre MASSALOUX
décédé le 13 juin 2025 à l'âge de 81 ans

Message de la famille

Chère famille, chers amis,

C'est avec une grande tristesse que nous vous annonçons le décès de Jean-Pierre MASSALOUX survenu le vendredi 13 juin 2025 à Saint-Yrieix-la-Perche.

Nous vous invitons à utiliser cet espace pour laisser vos condoléances, partager des photos souvenirs, une anecdote ou exprimer vos pensées à travers des poèmes ou des textes. Cet endroit est un lieu d'expression dédié à honorer la mémoire de Jean-Pierre MASSALOUX.


Un service de plantation d’arbre hommage est disponible ici.

Cérémonie religieuse

mercredi 18 juin 2025 à 10h30
Église de Mialet
24450 Mialet

Déroulé des obsèques

1Repos en salon funéraire

Du samedi 14 juin 2025 à 09h30 au mercredi 18 juin 2025 à 10h00

2Cérémonie religieuse

Le mercredi 18 juin 2025 à 10h30

3Inhumation

Le mercredi 18 juin 2025 à 11h30

Rendez hommage à M. MASSALOUX

Plantez un arbre du souvenir

Arbre du sourvenir
volunteer_activismUn hommage durable et symbolique
Locale, drapeau de la France Planté en France dans le respect de l’écosystème local
history_eduCertificat de plantation

Faites livrer des fleurs à la famille de M. MASSALOUX

Bouquet de deuil Empathie
storefrontPartenariat avec un artisan fleuriste local
volunteer_activism0,50€ reversés à Alzheimer France par bouquet
local_shipping Livraison à l’adresse de votre choix

Conservez un souvenir des hommages rédigés dans un beau livre

Jean-Pierre MASSALOUX 1943 - 2025 Marie Agnès Aujourd’hui, c’est un jour difficile car je dois te dire au revoir alors que je t’aimais tant. Les années passent, je me disais que j'avais une marraine exceptionnelle, gentille, toujours attentionnée. Quelle tristesse pour moi, tu me manqueras énormément, je ne t'oublierai jamais. Au revoir Marraine. Lucas Morel Devant ce douloureux coup du sort, je suis à la fois triste et décontenancée. Je voudrais vous apporter un peu de réconfort, mais, aujourd’hui les mots me manquent. Anaïs Henri Toutes mes pensées affectueuses à vous, qui m’avez fait aimer les mathématiques. Votre gentillesse, votre pédagogie envers nous restera gravé comme un précieux souvenir de mon enfance. Vous avez marqué ma vie bien au-delà de la salle de classe. Reposez en paix.
Le Livre Hommage rassemble les condoléances, photos et témoignages partagés par les proches pour honorer la mémoire de M. MASSALOUX.

Hommages rendus

12 hommages
1 accompagné de fleurs
  • Il y a 4 semaines
    Anabelle, Jean-Jacques, Jean-Baptiste et Angeline

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 4 semaines
    Marc et Marlyse Beaujeu

    Sincères Condoléances à toute le famille.
    Nous partageons votre peine. Un dernier geste envers toi cher Jean-Pierre pour ne pas oublier tous les bons moments passés ensemble, sans doute souvent trop courts, mais qui ont scellé notre amitié.
    Affectueux soutien.
    Marc et Marlyse

  • Il y a 4 semaines
    Jeanine et Jean Monchaty

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 4 semaines
    Jean-François Hérisson

    Cet hommage n'est visible que par la famille
  • Il y a 1 mois
    Georges brun

    Discours - George Brun

    C'est un de ces hasards de la vie ; Il y a un mois, je passais par La Coquille et, désireux de prendre des nouvelles d'un passé auquel je suis très attaché, j'ai appelé Jean-Pierre Massaloux pour le revoir — la première fois depuis au moins trois ans.
    Il ne tarda pas à me dire que son état de santé laissait présager que ce serait notre dernier entretien.
    Que peut-on se dire dans ces circonstances ?
    On évoque le passé. Et notre passé commun commence ce jour de 1969, lorsque M. Lespinasse, alors directeur de l'usine MEM, m'annonce qu'il avait pris à l'essai un jeune de La Coquille...
    « Une tête bien faite et bien diplômée », ajoutait-il.
    Très vite, Cher Jean-Pierre, vous avez acquis le délicat statut de bras droit de Mr. Lespinasse, puis pris naturellement l'ascendant pour lui succéder, le moment venu.
    Et, gant de velours et main de fer, stratège habile ou tyran - probablement un peu de tout cela à la fois, vous avez dirigé l'usine et son personnel à travers crises et succès, au gré des soubresauts de cette aventure industrielle que nous jugions tour à tour exaltante, épuisante ou absurde.
    Bien sûr, vous avez participé à l'expansion rapide des années 70, lorsque, quittant la grange enfumée de Madame Merle, nous avons investi la zone industrielle du « Minaret ».
    Bien sûr, vous êtes passé du bloc-notes et crayon-bille au tout-puissant (et souvent capricieux) ordinateur. Vous avez affronté les affres des fichiers disparus, goûté aux plaisirs de l'Excel qui « fait tout », et du Wi-Fi qui « dit tout ».
    Bien sûr, nous sommes passés du « 8 à La Coquille en Dordogne» qu'on demandait à des opératrices d'humeurs changeantes, à l'e-mail d'Outlook, si rapide qu'il arrive parfois avant qu'on ait eu le temps de le relire.
    Bien sûr, vous avez œuvré à la transformation d'une petite entreprise locale en une société aux ramifications internationales.
    Bien sûr, vous avez orchestré les départs de camions et de containers vers des destinations parfois exotiques :
    D'abord nos voisins : Belgique, Irlande, Angleterre, Espagne ;
    Puis des contrées plus lointaines : États-Unis, Venezuela, Chili, Afrique du Sud ;
    Et enfin, jusqu'à l'autre bout du monde : l'Australie.
    Vous avez rédigé tous ces documents aux adresses lointaines, vérifié, étiqueté les colis, houspillé les transporteurs en retard.
    La « mondialisation » était encore un mot nouveau, mais à La Coquille, nous la vivions déjà.
    Et vous avez connu les moments où il fallut retrousser les manches, repartir de plus bas, retrouver la rentabilité, redonner espoir, motiver les survivants.
    Et vous l'avez fait.
    Au gré des hauts et des bas de l'économie, des politiques industrielles, nous avons navigué ensemble sur une mer en dents de scie. Qui s'en étonnera ?
    Pendant trente-six ans, vous avez dirigé, organisé, ordonnancé.
    Et pendant trente-six ans, vous m'avez secondé, conseillé, soutenu. Du fond du cœur, je vous en remercie.
    En décembre 2005 vous avez pris votre retraite, aspiré par la tâche très exaltante de la mairie de La Coquille.
    Cher Jean Pierre Massaloux, vous avez traversé la vie avec constance et exigence, laissant votre empreinte dans la mémoire des lieux et des hommes.
    Maintenant que le temps vous a appelé à le rejoindre, à travers le souvenir de votre voix, de vos emportements, de vos silences aussi, c’est une certaine idée du travail, de l'engagement et de la dignité qui continue de régner parmi nous (qu’elle continue de clamer).
    Adieu, cher ami.
    Puisse la paix que vous cherchiez, vous être enfin accordée.

  • Il y a 1 mois
    Jean-Baptiste et Angeline Marty

    Discours - Jean-Baptiste et Angeline Marty

    Jean-Pierre, ou comme nous t’avons toujours appelé : Papé. Notre Papé. Tu es né le 29 août 43 à La Coquille, où t’as grandi auprès de tes parents, Maurice et Marcelle, ainsi que ta petite sœur, Josette, que tu as souhaité protéger toute sa vie.
    Tu as passé ton enfance à La Coquille où, entre l’école, la maison et les copains, tu étais un élève studieux et un super joueur de foot.
    Pour le lycée, tu es parti à Turgot, à Limoges, un établissement que tu as beaucoup aimé, et où, des années plus tard, nous sommes allés.
    Petit, tu rêvais de devenir pilote d’hélicoptère, mais un tympan percé t’en a empêché. Curieux, brillant, tu choisis finalement l’électricité. Tu entres après avoir été diplômé à la MEM à La Coquille où tu as gravi les échelons, jusqu’à en devenir le directeur pendant plus de 40 ans, la moitié de ta vie. Au-delà de ta carrière, tu t’es aussi engagé pour ta commune, adjoint, puis maire de celle-ci, pendant plusieurs années.

    En 67, c’est à “Prends-y-garde” – lieu prédestiné, comme une mise en garde du destin que tu allais rencontrer celle qui deviendra en 69 ton épouse : Marie-Paule Faure, notre Mamé. De votre union est née, Anabelle, le 26 juillet 1971.
    Tu es devenu père avec autant de joie que de sérieux. Tu as toujours suivi les résultats scolaires de ta fille, et de près. Et en maths, tu es resté son meilleur professeur.

    Toute ta vie, tu as toujours su concilier ton travail – très prenant la semaine – avec la vie de famille le week-end notamment en allant aider, l’été, ton beau-père au champ, avec Mamé. Dès que tu avais un moment pour toi, tu retournais à tes passions : la pêche, et surtout la chasse – que tu pratiquais autant pour te balader dans la nature avec des amis que pour le plaisir de promener tes chiens : Volga, Sissi, Anaïs, India, Samba, Austine et Nouchka... tous ont partagé avec toi des heures de marche, de complicité, et de silence au cœur des bois.

    Ton sérieux cachait aussi un sacré sens de l’humour. Tu adorais faire des coquineries comme tu les appelais. Un jour, tu as notamment voulu montrer à maman qu’on pouvait faire pousser des cacahuètes séchées à la maison. Tu avais planté avec elle une cacahuète et l’avait missionné de l’arroser chaque jour. Et pendant des semaines, elle a scruté le pot, jusqu’au matin où une tige et une feuille ont enfin percé la terre. Sauf que ce n’était pas une cacahuète, mais un pied de haricot vert. Je pense que Maman devait être folle de rage en découvrant ta supercherie !

    Et puis en y repensant, il y a eu cette fois, à Royan, où Maman s’approchait un peu trop du bord des rochers. Inquiet, tu l’appelles, tu cours pour l’attraper. Mais tout ne s’est pas passée comme prévu. Tu as glissé, basculé en arrière, et tu t’es retrouvé les fesses dans l’eau, le short de bain fendu en deux. Toi qui voulais la gronder, c’est finalement toi qui t’es fait gronder par Mamé. Car la maison c’était toi le chef, mais (on sait tous que) c’était mamé qui commandait.

    Fin des années 90, tu as rencontré : Jean-Jacques, ton futur gendre, notre papa. Tu as eu l’honneur de les marier tous les deux même si tu as dû t’y reprendre plusieurs fois entre deux quintes de toux, sûrement à cause du trac de la cérémonie. Dans ce nouveau chapitre, tu es toujours resté proche de maman. Tous les soirs, à 20h précises, vous vous appeliez. Sans faute. C’était votre rituel.

    AvecJean-Jacques, un autre lien s’est tissé : celui du partage
    . Le partage du travail, mais aussi de certains loisirs, comme la pêche. C’était un rendez-vous de transmission, où tu tentais d’initier mon père, à l’art de la pêche à la balance à Royan. Mais il faut bien le dire : les poissons, eux, n’étaient pas toujours au rendez-vous. Alors, pour ne pas rentrer bredouille, et sauver l’honneur, vous alliez parfois au marché... acheter deux trois poissons pour que mamé et maman ait un repas à cuisiner !

    Le 28 août 2000, je suis né – un jour avant ton anniversaire. Un cadeau parfait, arrivé un jour en avance. Angeline, nous a rejoint 3 ans plus tard, un 28 également, mais en mars. À nous deux, on ne t’a jamais vraiment laché. Et c’était très bien comme ça !

    Tu adorais passer du temps avec nous. Tu aimais nous faire réfléchir, nous questionner, et stimuler notre curiosité. Pour toi, apprendre ce n’était pas que des explications. C’était faire, essayer, se tromper parfois... mais recommencer, aller jusqu’au bout, pour être fier du travail accompli. Et qu’on puisse se tourner vers toi et te dire : « Regarde Papé, j’y suis arrivé. » On voulait voir cette fierté dans tes yeux qu’on n’oubliera jamais. Car tu ne disais pas “bravo” pour rien. Il fallait le mériter, tu étais exigeant.

    A la coquille tu avais instauré des règles de vie : ne pas s’égnorler, ne pas s’insulter, ne pas hurler quand papé et mamé sont au téléphonne. Mais finalement on ne les a pas tellement respectées ces règles.

    Avec toi, on a découvert les mathématiques, mais aussi le bricolage, le jardinage, ou encore la mer, avec des après-midis remplis de jeux, et de baignades à Royan. Où quand on se plaignait du froid en se baignant, tu avais toujours une solution bien à toi : « Mettez des chaussettes mes petits, vous n’aurez plus froid ! ».

    Avec Mamé, vous nous avais fait sillonner la Dordogne, en long, en large, et en souvenirs. Toi au volant, Mamé en copilote, France Bleu Périgord en fond sonore. Grottes, châteaux, rivières... et tellement d’autres merveilles qu’on ne pourrait toutes les citer.

    Mais il faut le dire ce qu’on préférait, c’était notre rituel : après chaque déjeuner, une balade autour de l’étang de Bussière-Galant. Un moment tranquille, pour digérer, discuter... et peut-être aussi pour nous fatiguer un peu. Histoire d’éviter, comme tu le disais, qu’on fasse la java le soir avec ma soeur.

    Mais avec le temps, les saisons ont changé. Les dernières années n’ont pas été des plus tendres pour toi. Mamé est tombée malade : Alzheimer, cette maladie que nous on n’oublie pas, et que tu n’as jamais vraiment acceptée. Mais, tu es resté fidèle à toi-même. Tu as tout fait pour la garder à la maison, le plus longtemps possible. Tu t’es occupé d’elle avec patience, amour et tendresse malgré les difficultés. Et même si, à contrecœur, tu as dû la placer en maison de retraite, tu n’as jamais manqué d’aller la voir pour toujours être à ses côtés.

    Quand ton propre corps a commencé à lâcher, ton esprit, lui, est resté animé jusqu’au bout. Et dans un dernier geste d’amour, tu as décidé de retourner voir Mamé en maison de retraire une ultime fois. Peu de temps après nous avoir tous revu une dernière fois, tu es parti dans la nuit de jeudi à vendredi dernier.

    Aujourd’hui, nous avons une pensée toute particulière pour notre Mamé qui ne peut pas être là, mais qui demeure à travers nous.

    Papé, tu étais pour nous la rigueur en chemise, toujours à l’heure, méthodique, consciencieux, et discipliné. Un homme simple qui filait droit.

    Tu nous manques déjà. Mais nous le savons : tu n’es pas très loin. Tu restes là, quelque part, à veiller sur nous. Invisible mais bien présent. Et tout ce que tu nous as transmis, nous espérons un jour pouvoir le transmettre à notre tour.

    Merci Papé.

  • Il y a 1 mois
    Michelle Faure

    Discours - Michelle Faure

    Jean-Pierre,

    Tu ne m'avais pas habitué à claquer les portes, c'est pourquoi je suis un peu désarçonnée.

    Aujourd'hui, c'est une profonde tristesse qui domine ma pensée. Parler de notre amitié serait bien long.

    Je pense, bien évidemment, à notre passage commun d'élu local à la commune de La Coquille.

    Il n'est de maire que celui qui a pleinement conscience du bien commun et de la mission commune. Celui qui en assume les querelles, comme un petit sacerdoce républicain.

    Plusieurs fois élu local, conseiller puis premier adjoint, tu as mené avec succès l'élection municipale de 2008. Élue presque par hasard, j'ai découvert une facette de ta personne que je ne connaissais pas.

    Ton engagement, tout en discrétion, m'a montré une détermination sans faille. Pas de détour inutile, des actes. J'ai découvert et mieux compris les exigences de maire.

    Notre collaboration a commencé par un impératif qui m'a laissé à l'époque incrédule voir plus.

    J'aimerais bien comprendre la confiance que tu m'accordais.

    Ton expérience et tes compétences te permettaient d'avoir une vision claire du chemin à suivre. Ton redoutable pragmatisme écartait toutes les polémiques jugées insignifiantes.

    Le caractère était bien trempé. La propension à l'approximation t'agaçait mais tu savais aussi reconnaître les qualités de ceux qui t'entouraient.

    Tu as montré au sein de la communauté de commune de Jumilhac ton engagement pour l'intérêt général et le bien commun. Meilleur remède contre l'individualisme qui menace la cohésion de nos sociétés.

    Les conseils municipaux étaient préparés avec soin. Tout proche du sérieux nécessaire à nos délibérations, mais la dérision n'était jamais loin. Tu avais bien conscience que la reconnaissance des services rendus retombe vite dans l'oubli.

    À l'occasion de lourds travaux d'assainissement, tu m'as fait toucher du doigt l'importance d'une continuité dans les investissements d'une commune. Petit à petit, tu m'as conduit à penser, sans vraiment l'exprimer, qu'il fallait poursuivre dans cette voix, à penser avant moi que la fonction de maire qui m'était jusqu'alors totalement étrangère, devait retenir mon attention. Tu es parvenu à tes fins.

    Coquillard convaincu tu l'étais. Du terrain de foot au rôle de maire tu es passé partout.

    Les anciens élus comme les nouveaux, les employés municipaux comme toutes les personnes qui ont travaillé avec toi, te rendent hommage pour ton engagement républicain.

    Au nom du conseil municipal qu'il me soit permis, en ce moment douloureux, de te remercier pour ce que tu as fait pour notre commune et de présenter à Marie-Paule, Anabelle, Jean-Jacques et vos petits enfants, Jean-Baptiste et Angeline, mes sincères condoléances.

    Adieu mon ami.

  • Il y a 1 mois
    L’AMOUR NE DISPARAÎT JAMAIS

    La mort n'est pas la fin,
    je suis seulement passé dans la pièce d'à côté.
    Je suis moi. Vous êtes-vous.
    Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours.
    Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné.
    Parlez-moi comme vous l'avez toujours fait.
    N'employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste.
    Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
    Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi.
    Que mon nom soit prononcé à la maison.
    Comme il a toujours été,
    Sans emphase d'aucune sorte,
    Sans une trace d'ombre.
    La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été, Le fil n'est pas coupé.
    Pourquoi serais-je hors de vos pensées, parce que je suis hors de votre vue ?
    Je ne suis pas loin..
    Juste de l'autre côté du chemin.
    Vous voyez tout est bien

  • Il y a 1 mois
    Stéphanie Speirani

    Cet hommage n'est visible que par la famille
    Il y a 1 mois
    Anabelle JJacques Angeline et JBaptiste
    La famille a répondu à cet hommage
  • Il y a 1 mois
    Anne, Stéphanie et Michel Speirani

    Cet hommage n'est visible que par la famille
    Il y a 1 mois
    La famille de Jean-Pierre
    La famille a répondu à cet hommage
history_edu

Rendre hommage

Pour vous prévenir quand la famille répondra à votre message.

Une image vaut mille mots. Faites revivre un souvenir.

Jusqu’à 20 photos | Formats : JPEG, PNG, HEIC, HEIF | Taille max. : 10 Mo par photo

Votre hommage a bien été publié.
Publication des photos en cours :
Les photos suivantes n’ont pas été publiées. Vous pouvez réessayer de les importer ou les retirer de l’hommage.

Les données recueillies dans ce formulaire permettront de déposer un hommage personnalisé au défunt. Pour plus d’information, consultez notre politique de confidentialité.

Prévenir les proches

Faire livrer des fleurs
close null
close Partage par e-mail
close Partage par SMS
close Modification de la photo
photo
close Livre hommage
Jean-Pierre MASSALOUX 1943 - 2025 Marie Agnès Aujourd’hui, c’est un jour difficile car je dois te dire au revoir alors que je t’aimais tant. Les années passent, je me disais que j'avais une marraine exceptionnelle, gentille, toujours attentionnée. Quelle tristesse pour moi, tu me manqueras énormément, je ne t'oublierai jamais. Au revoir Marraine. Lucas Morel Devant ce douloureux coup du sort, je suis à la fois triste et décontenancée. Je voudrais vous apporter un peu de réconfort, mais, aujourd’hui les mots me manquent. Anaïs Henri Toutes mes pensées affectueuses à vous, qui m’avez fait aimer les mathématiques. Votre gentillesse, votre pédagogie envers nous restera gravé comme un précieux souvenir de mon enfance. Vous avez marqué ma vie bien au-delà de la salle de classe. Reposez en paix.
Le livre hommage met à l'honneur les différents messages et photos partagés sur cet espace avec une mise en page élégante.
  • - Format 210 x 210mm sur papier 200 gr. et ½ semi-brillant
  • - Imprimé et façonné en France
  • - Livré via colissimo (nous attendons de réceptionner tous les hommages avant de produire le livre)
  • - Suivi du colis par SMS
Nombre d'exemplaires :
Prix TTC: 49,90€